cloud doivent être pensées pour l’utilisateur, et qu’il doit être le premier à en détenir le contrôle ; • l’ouverture des standards, systèmes et logiciels est une garantie pour l’utilisateur ; • la transparence de la gouvernance est une condition de la confiance et de la fiabilité ; • l’interopérabilité conditionne l’efficacité du cloud en tant que ressource publique ; • toutes les parties doivent être équitablement représentées dans les processus de normalisation, qui doivent être coordonnés et collaboratifs, aussi peu mûr soit le marché ; • que l’équilibre entre l’intérêt du consommateur et l’intérêt mercantile doit être préservé et sinon en faveur du consommateur ; • enfin que la sécurité est essentielle, et non point facultative.
complétés, sous l’angle des questions posées par les différents acteurs, en particulier les utilisateurs, notamment à la lumières des révélations et des débats qui ont eu lieu depuis la rédaction de l’Open Cloud Manifesto : • refus de la confiscation des données personnelles et professionnelles par les opérateurs du Cloud ; • refus de l’espionnage et de l’intelligence économique au profit de puissances ou d’acteurs étrangers ; • refus de la société de surveillance généralisée, de quelque origine qu’elle soit. À noter qu’un bon encadrement des captations administratives de données par l’État serait un avantage compétitif considérable pour les acteurs français du cloud ; • encouragement à utiliser les technologies les plus ouvertes et interopérables, notamment le développement de standards autour du cloud computing (à tous les niveaux : IaaS / PaaS / SaaS). • encourager la R&D sur les technologies ouvertes de cloud distribué, sur l’interopérabilité des clouds, sur la résilience, la sécurité, etc.
version amendée, complétée, adaptée à la mentalité et au droit français et européen de l’Open Cloud Manifesto. Les opérateurs de cloud devront être fortement incités sinon contraints à s’engager sur ce manifeste. • à un label de confiance, associé à de la certification, qui prenne en compte ces différents principes et les formalise sous une forme vérifiable concrètement. Des normes françaises ou internationales pourront être invoquées, ou développées, dans le cadre du développement de cette certification ; • à définir une charte d’interopérabilité (ou charte de l’open cloud) et d’inscrire des clauses d’interopérabilité dans les commandes et actions de soutien public ; Dans tous les cas, une communication importante doit remettre au cœur du débat, et en particulier dans l’esprit des acheteurs, les principes que nous évoquons et qui seraient affirmés dans ce manifeste.
plusieurs projets financés par la commission européenne dont le plus complet est CloudWatch. L'objectif sous-jacent est que la modernisation des systèmes d'information des PME passe par une migration vers le cloud et que pour favoriser leur accès aux services cloud il faut lever les barrières (complexité et "incomparabilité" des contrats, clauses léonines, verrouillage, imprévisibilité des coûts, etc. etc.) • --> http://www.cloudwatchhub.eu/, voir notamment http:// www.cloudwatchhub.eu/interoperability
Industry Forum dont l'objectif est de promouvoir ses membres par la promotion d'un code de conduite. Les anglais sont très dans les fédérations, confédérations, standard et autres amicales de ce type. Cela dit ce n'est pas complètement différent ce que veut faire la Open Cloud Foundation. Peut-être que OCF a pris langue avec CIF ? • --> https://www.cloudindustryforum.org/, voir https:// www.cloudindustryforum.org/content/code-practice-cloud-service- providers
regarding what it means for the cloud to be “Open” (Tio Libre, Open Cloud Manifesto…) • A large industry consensus (from vendors who really want to differentiate themselves, and from customers), a strong political will, and an appropriate communication campaign are needed for a new definition to emerge and to succeed (= be largely adopted by the community)